Elle respire la gaieté, la santé, la joie de vivre et pourtant… Pour la première fois, l’enfant chérie de la télévision accepte de se livrer en confiant un secret douloureux : la grave maladie qui l’a privée, à vingt-deux ans, du bonheur d’être mère un jour. Pour la première fois aussi, elle évoque l’accident tragique de Didier Pironi, le pilote de Formule 1, qui fut l’amour de sa vie. Ce récit émouvant, jalonné d’anecdotes, nous fait partager le chemin qui fut le sien, avec la rencontre du bouddhisme qui l’a aidée à guérir, à porter sur l’existence un regard différent, et à s’engager pour la défense du Tibet. De cette philosophie, Véronique Jannot propose ici une explication lumineuse, un mode de vie au quotidien, à la portée de tous. Elle donne également la parole à des femmes d’exception, rencontrées là où survit le peuple tibétain en exil, ainsi qu’à Sogyal Rinpoché, son guide spirituel. Autant de témoignages qui nous mènent vers les hautes altitudes où se trouvent peut-être les vraies clés du bonheur.
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“Confessions d’un baby-boomer” Thierry Ardisson et Philippe Kieffer
Présentation de l’éditeur: ” Je crois que je n’ai jamais fait autre chose que de me mettre en scène. Transformer ma vie en cinéma. Et, ce qu’on va faire, là, c’est d’essayer de mettre bout à bout et dans le bon ordre des dizaines de séquences, des centaines de plans qui me restent en mémoire. ” Pour se confesser, Thierry Ardisson aurait pu se contenter d’aller voir un prêtre, mais il s’est adressé à un journaliste. Cela donne Confessions d’un baby-boomer, un livre où il énumère tous ses péchés : le pape, la pop, la dope, le Palace, la presse, le punk, la pub, le PAF, la hype, les hippies, les people. Des péchés qui sont ceux d’une génération. Une génération qui a préféré Lennon à Lénine et Stallone à Staline. Une génération qui n’a pas changé le monde, mais qui s’est bien amusée.
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“Né quelque part” (Maxime Le Forestier)
Pour la première fois, Maxime Le Forestier se livre, dans ces conversations avec la journaliste Sophie Delassein. Né en février 1948, il débute sa carrière dès l’adolescence lorsque, après une formation classique, il se tourne vers la guitare, s’appuyant sur les partitions de Brassens. Il fait ses débuts en duo avec sa sœur Catherine et connaît un succès éclatant dès 1972. Cette année-là, il passe en première partie de Brassens à Bobino et sort simultanément son premier album. « San Francisco », « Éducation sentimentale », « Mon frère », « Parachutiste »… autant de tubes sentimentaux ou engagés qui font aussitôt de Maxime Le Forestier la figure de proue de toute une génération de lycéens et d’étudiants post-soixante-huitards et hippies. Véritable phénomène, le chanteur vend un million et demi d’album et sillonne la France pendant près de quatre ans, remplissant salles et stades. Puis il connaît une traversée du désert qui durera dix ans, avant de revenir en force sur le devant de la scène en 1987 avec « Né quelque part », qui inaugure une seconde carrière aussi brillante que la première. Aujourd’hui, Maxime Le Forestier, qui renoue avec Brassens dont il interprète le répertoire, raconte les coulisses d’un parcours exceptionnel. Il dévoile ses sentiments sur chacun des épisodes de sa vie d’artiste et parle avec une grande humanité de ses proches, notamment de Georges Moustaki, le « frère qu’il n’a jamais eu », mais aussi des chanteurs d’aujourd’hui.