Archives mensuelles : juillet 2006

Musée Picasso à Barcelone

Aujourd’hui, visite du musée Picasso de Barcelone. Le site officiel est ici.

La visite du musée de Picasso à Barcelone  est indispensable pour la compréhension des années formatrices de Pablo Ruiz Picasso. Le génie du jeune artiste est révélé à travers plus de 3.500 travaux qui composent la collection permanente. Cependant, le musée de Picasso révèle également ses relations avec Barcelone : une intime et solide relation qui a été formée dans son adolescence et sa jeunesse, et a continué jusqu’à sa mort. Grâce aux souhaits de Picasso et de son ami Jaume Sabartés, Barcelone a maintenant les ouvres de jeunesse d’un des vingtième artistes les plus significatifs du siècle.

“Confessions d’un baby-boomer” Thierry Ardisson et Philippe Kieffer

TA_confessions_d_un_baby_boomerPrésentation de l’éditeur: ” Je crois que je n’ai jamais fait autre chose que de me mettre en scène. Transformer ma vie en cinéma. Et, ce qu’on va faire, là, c’est d’essayer de mettre bout à bout et dans le bon ordre des dizaines de séquences, des centaines de plans qui me restent en mémoire. ” Pour se confesser, Thierry Ardisson aurait pu se contenter d’aller voir un prêtre, mais il s’est adressé à un journaliste. Cela donne Confessions d’un baby-boomer, un livre où il énumère tous ses péchés : le pape, la pop, la dope, le Palace, la presse, le punk, la pub, le PAF, la hype, les hippies, les people. Des péchés qui sont ceux d’une génération. Une génération qui a préféré Lennon à Lénine et Stallone à Staline. Une génération qui n’a pas changé le monde, mais qui s’est bien amusée.
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Brasil Braisleiro

BrasileiroHier soir, spectacle brésilien à Barcelone.

Le samba est le cœur magique du Brésil, sa pulsation secrète, son rituel. Avec Brasil Brasileiro, l’inépuisable metteur en scène argentin Claudio Segovia renoue avec les spectacles mythiques qui ont forgé sa renommée internationale, ‘Tango Argentino’, ‘Flamenco puro’, ‘Black and blue’. En plus de vingt-cinq tableaux, dans un spectacle fleuve qui retrace l’histoire du corps brésilien possédé par le chant et la danse, des quartiers de mauvais et beaux garçons aux night-clubs de Copacabana, de la nostalgie du cinéma Odéon de Rio de Janeiro aux strass de ses danseuses nues, se dessine une image authentique et flamboyante du Brésil. Des portraits surgissent qui disent le métissage de l’Afrique, de l’Europe et des Amériques, celui de Blaise Cendrars, de Villa Lobos, de Joào Gilberto et de Vinicius de Moraes, d’Antonio Carlos Jobim, de Caetano Veloso, de Chico Buarque…

Un spectacle de Claudio Segovia, avec 50 artistes sur scène : 30 danseurs (samba, bossa nova, lambada, hip-hop), 15 musiciens (instruments traditionnels et modernes, ensemble de percussions), 5 chanteurs renommés (dont deux représentent la ‘Velha Guardia’, la tradition).

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“Né quelque part” (Maxime Le Forestier)

ne_quelque_partMot de l’éditeur:

Pour la première fois, Maxime Le Forestier se livre, dans ces conversations avec la journaliste Sophie Delassein. Né en février 1948, il débute sa carrière dès l’adolescence lorsque, après une formation classique, il se tourne vers la guitare, s’appuyant sur les partitions de Brassens. Il fait ses débuts en duo avec sa sœur Catherine et connaît un succès éclatant dès 1972. Cette année-là, il passe en première partie de Brassens à Bobino et sort simultanément son premier album. « San Francisco », « Éducation sentimentale », « Mon frère », « Parachutiste »… autant de tubes sentimentaux ou engagés qui font aussitôt de Maxime Le Forestier la figure de proue de toute une génération de lycéens et d’étudiants post-soixante-huitards et hippies. Véritable phénomène, le chanteur vend un million et demi d’album et sillonne la France pendant près de quatre ans, remplissant salles et stades. Puis il connaît une traversée du désert qui durera dix ans, avant de revenir en force sur le devant de la scène en 1987 avec « Né quelque part », qui inaugure une seconde carrière aussi brillante que la première. Aujourd’hui, Maxime Le Forestier, qui renoue avec Brassens dont il interprète le répertoire, raconte les coulisses d’un parcours exceptionnel. Il dévoile ses sentiments sur chacun des épisodes de sa vie d’artiste et parle avec une grande humanité de ses proches, notamment de Georges Moustaki, le « frère qu’il n’a jamais eu », mais aussi des chanteurs d’aujourd’hui.